Quand Daniel Pennac conseille la lecture de La Petite Lumière d'Antonio Moresco à Grégory Panaccione, il sait déjà que c'est l'un des rares artistes aptes à le traduire graphiquement... Encore fallait-il qu'il lui plaise.« Je suis venu ici pour disparaître, dans ce hameau abandonné et désert dont je suis le seul habitant ». Le récit d'Antonio Moresco met en scène un homme vieillissant qui a décidé de s'extraire du monde. Mais chaque soir, une petite lumière perce sa solitude... Grégory Panaccione démontre une fois encore son étonnante capacité à exprimer graphiquement une écriture, la plus singulière soit-elle.